vendredi 18 février 2011

Philippe Mexès tout proche de signer au Milan AC

Le défenseur français est en fin de contrat à la Roma...Lire la suite l'article
Philippe Mexès au Milan, c'est presque fait. Selon l'Equipe, le défenseur central de la Roma (29 ans), qui arrive en fin de contrat avec le club de la louve en fin de saison, ne prolongera pas. Il aurait même trouvé un accord avec le Milan AC depuis la mi-janvier pour le rejoindre la saison prochaine . Même si Adriano Galliani, administrateur délégué et vice-président du club lombard, affirme le contraire. «Il n'y a aucun accord entre le Milan et Philippe Mexès. Le Milan n'entend pas déranger le joueur ni la Roma, un club ami. Si le joueur décidait de ne pas prolonger à la Roma, le Milan, comme beaucoup d'autres clubs, pourrait évidemment être intéressé par lui.»

Youssef El Arabi dément pour Marseille



Youssef El Arabi dément po - FOOTBALL - Ligue 1


Voilà un joueur qui ne laisse pas les rumeurs prendre de l’ampleur ! En effet, l’international marocain de Caen, Youssef El Arabi, a tenu à formellement démentir la rumeur qui l’envoyait à l’Olympique de Marseille la saison prochaine.

Interrogé à ce propos sur le site www.footmercato.net, El Arabi a été catégorique: « Non, non, ce n’est pas vrai. Ce ne sont que des rumeurs. Il n’y a pas eu de contacts", avant d’ajouter "je finis mon année et après je ferai mon choix. Pour l’instant, je ne sais pas encore ».
Auteur d’une excellente saison (11 buts), El Arabi est courtisé par plusieurs clubs français et étrangers. Il a toutefois souhaité finir la saison au sein du SM Caen. Il y a une grande probabilité qu’il soit transféré l’été prochain surtout en cas de relégation de son club actuel qui se bat pour rester en Ligue 1.
L’autre souci majeur d’El Arabi reste sans conteste son statut au sein des Lions de l’Atlas. Marginalisé par Eric Gerets au cours de la dernière rencontre amicale face au Niger, le joueur n’a pas cru bon de réagir. Mais pour combien de temps ?
C’est d’ailleurs là toute la difficulté qui attend Eric Gerets. Avec un effectif pléthorique, le lion de Rekem va devoir faire preuve de sens de la diplomatie et de doigté pour ménager les susceptibilités.

El Hamdaoui crucifie Boussoufa



El Hamdaoui crucifie Bouss - FOOTBALL - Ligue Europa


Pour le compte des 16èmes de finale aller de l’Europa League, le club d’Anderlecht de Mbarek Boussoufa a été humilié à domicile par l’Ajax d’Amsterdam de Mounir El Hamdaoui sur le score sans appel de 3-0.

Pour ce qui constituait un des chocs de ce tour, il n’y a pas eu photo. En effet, l’équipe de Frank De Boer a survolé les Mauves qui se sont montrés incapables d’inverser la tendance. En effet, ce sont les amstellodamois qui allument la première brèche mais El Hamdaoui, seul face au gardien, ne cadre pas.
Par la suite, on assiste à une domination des coéquipiers de Boussoufa. Sans succès. A la 31ème minute, El Hamdaoui offre un caviar à Souleijmani mais ce dernier pèche dans le dernier geste.
Ce n’est que partie remise puisqu’une minute plus tard, Alderweireld donne l’avantage aux siens suite à une erreur de marquage. Une douche froide s’abat alors sur le stade. Boussoufa tente d’égaliser mais sa frappe est repoussée par Stekelenburg. La pause s’achève en faveur de l’Ajax.
Au retour des vestiaires, Boussoufa provoque un penalty mais son coéquipier Wasilewski ne réussit pas à le transformer. C’est le tournant du match puisque l’Ajax réussit à doubler la mise à la 60ème grâce à Eriksen grâce à un excellent « faux appel » d’El Hamdaoui. 7 minutes plus tard, El Hamdaoui enfonce le clou en remportant son face à face avec le gardien bruxellois.
Le score en restera là. Les Néerlandais prennent une très sérieuse option pour la qualification. El Hamdaoui a montré qu’il retrouvait petit à petit son vrai niveau. Mais est-ce suffisant aux yeux d’Eric Gerets qui assistait à la rencontre ? Rien n’est moins sûr.

Michael Chrétien Basser : « Convaincre les joueurs hésitant à opter pour le Maroc ».



Michael Chrétien Basser :  - FOOTBALL - Ligue 1


L’international marocain de l’AS Nancy Lorraine, Michael Chrétien Basser, s’est confié au magazine français, France Football. Il revient sur son rôle à jouer pour convaincre les joueurs binationaux à rejoindre les Lions de l’Atlas.

Il a avoué avoir discuté avec le trio marocain de Montpellier : « Lorsque j’ai été amené à jouer contre Montpellier avec Nancy, j' ai dit à El-Kaoutari, Belhanda et Aït Fana, que ce serait bien qu’ils nous rejoignent, qu’il y avait quelque chose d’intéressant à accomplir avec le Maroc et que l’on comptait sur eux (…) Cela fait partie de notre travail, quand on croise des joueurs en plein doute, de leur parler, de les convaincre de jouer en faveur de notre sélection. Mais il s’agit uniquement de conseils, on ne force pas leur choix, car il leur appartient.»
Notons que Belhanda a déjà honoré deux sélections avec le Maroc face à l’Irlande du Nord et le Niger alors qu’Ait Fana et El Kaoutari n’ont toujours pas été convoqués par Eric Gerets.
Basser a aussi évoqué son cas personnel, affirmant que son choix d’opter pour le Maroc s’est fait tout à fait naturellement : « Ça s’est fait naturellement. J’étais content et fier de faire partie de la sélection marocaine », son choix ayant été conforté par son coéquipier, Youssouf Hadji mais aussi par son agent, Mounir El Hassouni.
L’arrière droit de Nancy fait l’unanimité sur le plan de la conduite et de l’état d’esprit. En revanche, le joueur tarde à recouvrer son niveau d’antan, ce qui rejaillit sur ses performances en équipe nationale.
Nombreux sont les observateurs qui considèrent que le côté droit est l’un des points faibles des Lions de l’Atlas à tel point que des démarches seraient sur le point d’être entreprises pour convaincre Abdoulay Konko (Gênes) de jouer pour le Maroc.

Arsenal a pris de la bouteille



Arsenal a grandi - FOOTBALL - Ligue des Champions


La victoire face au Barça (2-1) confirme que les Gunners ont engrangé de l'expérience. Ils ont subi mais jamais craqué. Et, surtout, ont su rester fidèles à leur philosophie de jeu. Au Camp Nou, "il faudra rester fidèle à notre conception", annonce Arsène Wenger.

Près d'une année s'est écoulée. Et depuis ce quart de finale de la Ligue des Champions 2009/2010 perdu face au Barça, Arsenal a bien grandi. Samir Nasri résume : "On a pas mal progressé. On a acquis de la maturité." Les baby-Gunners (23 ans de moyenne d'âge), tant raillés par Patrice Evra, ont gagné en expérience. Sans se renier. Pour venir à bout des Blaugrana (2-1), les Londoniens "sont restés fidèles à (leur) philosophie", se réjouit Arsène Wenger. "D'habitude, nous avons plus le ballon que nos adversaires. Là, ce n'était pas le cas. Mais on n'a pas forcé notre nature", ajoute-t-il. Le manager alsacien "ne fait pas la fine bouche". "C'est une belle soirée pour Arsenal. On a battu la meilleure équipe au monde."
Asphyxiée, son équipe a longtemps couru après le cuir. Les chiffres confirment l'impression visuelle : 60% de possession en faveur du Barça, 629 passes côté catalan, contre 299 côté londonien. "On a plutôt contrôlé le match, confirme Pep Guardiola, l'entraîneur blaugrana. Mais ils sont très bons et rapides en contre-attaque." "En première mi-temps, on a beaucoup couru, reconnaît au micro de Canal Plus Laurent Koscielny, impeccable en défense centrale. Ils avaient le ballon. A la mi-temps, on s'est tous remobilisés. On est revenus avec plus de rage, plus d'envie. Tout le monde a donné à 200%. On a fait une grosse débauche d'énergie. Le résultat est mérité."
"Ils apprennent vite"
L'an passé, les Gunners avaient péché par naïveté. Cette fois, ils ont su presser, puis faire le dos rond, pour enfin forcer le verrou catalan en fin de match. En puisant dans leurs ressources. "Mon équipe a des qualités mentales qu'on ne soupçonne pas assez, insiste Wenger. Elle a une grosse solidarité." Et elle retient les leçons du passé. "L'expérience sert, reprend le coach des Gunners. On est toujours jeunes. Mais on a beaucoup appris. Et comme les joueurs sont intelligents, ils apprennent vite. On est plus mûrs." Reste à le démontrer dans trois semaines, au Camp Nou. Même avec un petit but d'avance, "il faudra rester fidèle à notre conception, c'est-à-dire essayer d'aller marquer des buts à Barcelone", annonce Wenger. De toute façon, Nasri prévient : "On va jouer notre jeu parce qu'on sait pas faire autrement." Même avec un an de plus, on ne se refait pas complètement.

Ménez a pris du galon



Ménez a pris du galon - FOOTBALL - Ligue des Champions


Buteur mercredi face au Shakhtar Donetsk (2-3) en 8e de finale aller de la Ligue des Champions, l'international français est actuellement sur un nuage. Mais la Roma devra s'en passer lors du match retour. Son absence risque de laisser un vide.

Jérémy Ménez est "amer". La Roma aussi. Dans trois semaines, elle ira à Donetsk avec un but de retard. Et sans son attaquant français. Autant dire qu'en Ukraine, la Louve devra se retrousser les manches pour arracher son billet en quarts de finale de la Ligue des Champions. Mercredi soir, lors du match aller perdu au stadio Olimpico face au Shakhtar (2-3), Ménez a inscrit un but somptueux. Mais il a perdu ses nerfs. "Je voulais tellement gagner ce match que je me suis énervé tout seul et j’ai pris un carton." Un de trop."Ma suspension est un coup dur, reprend-il dans les colonnes de L'Equipe. Il faut toujours y croire. On peut aller faire un coup là-bas, même si je ne jouerai pas."
L'absence de l'international tricolore risque de peser lourd dans la balance. Car cette saison, il est devenu indispensable aux yeux de Claudio Ranieri. Cela n'a pas toujours été le cas. Lorsqu'il pose ses valises dans la capitale italienne, durant l'été 2009, Ménez a droit à un recadrage en règle. Six mois plus tard, le Paris Saint-Germain met 8 millions d'euros sur la table. Mais le natif de Longjumeau s'accroche. D'une main de fer dans un gant de velours, Ranieri le remet dans le droit chemin. "Ménez est un diamant qui met du temps à briller", insiste l'entraîneur italien.
A la table de Totti
Aujourd'hui, le diamant brille de tous ses éclats. Avec la Roma, où il a déjà connu presque autant de titularisations (17 en 22 matches de Serie A) qu’en 2009-2010 (18 en 23 matches). Mais aussi avec les Bleus, où sa copie rendue face au Brésil (1-0) a éclipsé une prestation nettement plus terne face à la Biélorusse (0-1). "Il est capable d'exploits, affirmait mercredi soir Christian Damiano, l'adjoint de Ranieri, il faut qu'il en prenne conscience. Il lui faut encore plus de constance dans ses matches."
A 23 ans, Ménez a grandi. Plus ouvert, plus mûr, il a trouvé sa place dans le vestiaire romain. Désormais, il peut s'asseoir avec Marco Cassetti et Philippe Mexès à la table de poker de Francesco Totti, l'emblématique capitaine de la Louve. "Il avait besoin d’un moment d’adaptation, explique Mexès dans L'Equipe. Puis, il a su nous écouter, tirer le meilleur de lui-même pour beaucoup progresser." Pour se rendre indispensable. Dans trois semaines, la Roma devra pourtant s'en passer.

Michel BASTOT


MyGuest : Michel Bastos de Lyon répond à vos questions

Anthar Yahia: "On n’a pas de Lionel Messi ni de Cristiano Ronaldo"



Anthar Yahia: "On n’a pas  - FOOTBALL - Bundesliga 2

Auteur d’une bonne entame de saison avec le VFL Bochum(Bundesliga 2), la tour de contrôle des Fennecs, Anthar Yahia déplore le manque de préparation à l’approche du choc maghrébin tant attendu contre le Maroc le 27 mars à Annaba comptant pour les éliminatoires de la CAN 2102.

Anthar Yahia qui réalise une saison ébouriffante avec le VFL Bochum (3ème, 43 points) à quatre longueurs du leader, leHertha Berlin, a regretté l’annulation de la joute amicale prévue contre la Tunisie alors que les adversaires des Fennecs pour les éliminatoires de la CAN 2012 ont tous joués. «Je pense que la rencontre face à la Tunisie aurait été un très bon moyen de préparer le mach face au Maroc. Le fait de ne pas avoir joué ce match est une très mauvaise chose pour notre équipe nationale. Maintenant, il est impératif de jouer un autre match de préparation face à un adversaire de la même valeur de la Tunisie». C’est en ces termes qu’Anthar s’est confié à la radio algérienne relayée par DZ Foot.
Le solide défenseur algérien estime que les Lions de l’Atlas regorgent de joueurs pétris de talents. «C’est vrai que cela aurait été bien si on avait joué ce match amical comme l’a fait le Maroc, maintenant Il ne faut pas trop se poser de questions, le match décisif, c’est dans un mois face à une bonne équipe marocaine, qui est constituée d’excellents joueurs qui évoluant en Europe. On va jouer le match aller en Algérie et le match retour aura lieu Maroc, il faut donc gagner la première manche chez nous sans avoir peur de cette formation marocaine. Il faut se préparer en conséquent et ne se préoccuper que de notre groupe. Il faut qu’on retrouve aussi ce qui a fait notre force l’an dernier, pour remporter ce match ô combien important».
Et de rajouter : «Moi, je dis qu’il n’y a pas de place pour un autre résultat autre que la victoire. Il faut commencer par gagner ce prochain match et ensuite se focaliser sur les autres. J’espère que tous les joueurs algériens seront au rendez vous pour effacer les deux derniers contre-performances».
Quant à la stérilité offensive que connaît les Fennecs, Anthar Yahia, reste réaliste. Dans une déclaration accordée à un site spécialisé, le capitaine d'équipe de la sélection algérienne, reconnait que l'Algérie ne possède pas la perle rare devant pour espérer faire la différence: « On critique l’efficacité, mais il faut reconnaître que l‘Algérie n’est ni l’Argentine, ni le Brésil. On n’a pas de Lionel Messi ni de Cristiano Ronaldo. »

NBA: Derrick Rose donne la leçon à Tony Parker

BASKET - Le meneur de Chicago réussit son plus haut total de points en carrière face aux Spurs...Lire la suite l'article
Face à Chicago, Tony Parker n'a pas été mauvais. Loin de là, même. Avec 26 points et 4 passes, le meneur français des Spurs de San Antonio a sûrement réalisé l'une de ses meilleures prestations de l'année. Sauf qu'en face, Derrick Rose a prouvé qu'il était bien en MVP en puissance. En réalisant son record de points en carrière (42), le meneur de «Windy City» a gagné à lui tout seul cette rencontre face à la meilleure équipe de la Ligue (109-99). Dommage que Tony Parker n'ait pas été retenu au All-Star Game, ce week-end, pour poursuivre ce duel entre deux des meilleurs meneurs de NBA.
Dans l'autre match de la nuit, les Mavericks de Dallas ont écarté les Suns de Phoenix (112-106).
Les images du duel Rose-Parker: